
La com est un métier. Frédéric Fougerat.
Sans honte, je prêche pour ma paroisse…
C’est un plaidoyer incisif et plein de bon sens signé de l’un des communicants actuellement les plus influents.
Et si vous ne pensez pas que la communication soit un vrai métier, confiez la donc à un apprenti ou à un ingénieur… Demandez donc à votre équipe ce qu’il faut dire en situation de crise… nous en reparlerons.

Communication : pourquoi le message ne passe plus ? Bernard Emsellem.
Dès 2015, bien avant que cela devienne un poncif de la communication, Bernard Emsellem plaidait pour la co-construction avec les parties prenantes. L’important ce n’est pas d’avoir le strict contrôle de nos moyens, c’est le résultat que l’on atteint, nous dit-il. Et je retiens aussi cette idée clef : communiquer c’est faire la clarté sur nos activités ; assumer et expliquer.

L'empire des croyances. Gerald Bronner.
Tous les mécanismes psycho-sociologiques déterminant nos croyances y sont décryptés avec une rigueur intellectuelle rare. Gerald Bronner devrait être enseigné dans toutes les écoles de communication.

L'art du storytelling. Guillaume Lamarre.
Les outils pour comprendre et mettre en place du storytelling. Et notamment l’importance d’une tension, d’une lutte, d’une cause. Personne ne s’intéresse aux histoires sans suspens ou tension. Alors, quelle est votre cause, à vous, qui vous permet de créer un récit captivant autour de votre entreprise ?

La liberté du commandement. Loïc Finaz.
Responsabiliser, déléguer, montrer l’exemple… Le meilleur essai sur le management d’équipe que j’ai lu jusque-là, illustré par des exemples issus de l’expérience de son auteur, amiralà nord d’un sous-marin d’attaque puis Directeur de l’école de guerre de la marine. Simple, évident, brillant.

Convaincre sans manipuler. Philippe Breton.
Pour changer un peu des stratagèmes de Schopenhauer… Le B.A.BA de la rhétorique et de l’argumentation pour atteindre le but que le titre annonce “convaincre, sans manipuler”.

L'art du storytelling. Guillaume Lamarre.
Identifier les conventions et les remettre en question pour générer de la nouveauté, voire de la disruption, ouvrir les possibles et obtenir des résultats innatendus. Un petit opus signé par l’inventeur de la disruption, grand patron de l’agence TBWA.

La liberté du commandement. Loïc Finaz.
Toutes nos croyances et tous nos comportements s’expliquent. Et ils ont 3 causes : notre raison instrumentale (“égoïste”), notre raison cognitive (ce que l’on croit vrai ou faux), notre raison axiologiste (ce que l’on croit bien ou mal). En agissant sur le bien et le mal, sur le vrai et le faux, la communication peut agir pour le meilleur, par-delà les tropsimes cyniques.

Guide de la communication responsable. ADEME.
Toutes nos activités doivent devenir “responsables”. La communication ne fait pas exception, et a fortiori de part son rôle d’éclaireuse dans l’entreprise, elle doit montrer l’exemple en la matière. Ce guide donne toutes les clefs essentielles pour y parvenir.